soupe au caillou

Bon, la première fois que j’ai tenté la soupe au caillou, c’était plus par curiosité que par faim. J’avais entendu l’histoire, vous savez, celle du vieux qui arrive au village avec juste un caillou et ressort avec un festin. Eh bien, moi, c’était le contraire : frigo vide, sauf quelques patates et un caillou décoratif que ma nièce m’avait offert (je ne l’ai pas vraiment mis dans la marmite, hein, faut pas pousser mémé dans les orties). Bref, j’ai improvisé, et, contre toute attente, c’est devenu une de mes soupes préférées pour l’hiver. Mes amis s’en souviennent (surtout de la première version où j’avais oublié le sel… ça manquait franchement de saveur !).
J’en prépare dès qu’il fait moche dehors, ou quand j’ai envie de mettre tout ce qui traîne dans le bac à légumes (c’est un peu le vide-frigo officiel chez moi). Ma famille me réclame cette soupe après les balades en forêt, surtout parce que je la sers toujours avec du pain (et parfois un vieux fromage qui traînait au frigo, c’est pas obligatoire mais chez nous c’est sacré). Ah, et franchement, j’ai longtemps galéré avec les carottes qui restent croquantes trop longtemps… Mais maintenant, je les coupe plus fin et c’est réglé. Petite victoire de la persévérance !
Une fois, j’ai tenté la version avec du chorizo : c’est bon mais ça masque tout le goût des légumes, donc à éviter si vous aimez sentir chaque saveur (ou alors mettez juste un petit bout, pas toute la saucisse, comme moi la première fois). En fait, je trouve que la version végétarienne est la plus conviviale. Parfois, j’ajoute un peu de haricots blancs pour la consistance, c’est top. Et sinon, j’ai essayé une fois avec du potimarron… c’était joli mais un poil trop sucré pour mon goût.
Why You'll Love This Recipe
- Quick and easy to prepare
- Made with simple, accessible ingredients
- Perfect for weeknight dinners or special occasions
- Delicious flavors that everyone will enjoy
- Great for meal prep and leftovers
Ingredients
Instructions
Ça commence par un caillou… ou presque
Bon, la première fois que j’ai tenté la soupe au caillou, c’était plus par curiosité que par faim. J’avais entendu l’histoire, vous savez, celle du vieux qui arrive au village avec juste un caillou et ressort avec un festin. Eh bien, moi, c’était le contraire : frigo vide, sauf quelques patates et un caillou décoratif que ma nièce m’avait offert (je ne l’ai pas vraiment mis dans la marmite, hein, faut pas pousser mémé dans les orties). Bref, j’ai improvisé, et, contre toute attente, c’est devenu une de mes soupes préférées pour l’hiver. Mes amis s’en souviennent (surtout de la première version où j’avais oublié le sel… ça manquait franchement de saveur !).
Pourquoi tu vas adorer (enfin, je pense…)
J’en prépare dès qu’il fait moche dehors, ou quand j’ai envie de mettre tout ce qui traîne dans le bac à légumes (c’est un peu le vide-frigo officiel chez moi). Ma famille me réclame cette soupe après les balades en forêt, surtout parce que je la sers toujours avec du pain (et parfois un vieux fromage qui traînait au frigo, c’est pas obligatoire mais chez nous c’est sacré). Ah, et franchement, j’ai longtemps galéré avec les carottes qui restent croquantes trop longtemps… Mais maintenant, je les coupe plus fin et c’est réglé. Petite victoire de la persévérance !
Les ingrédients (et mes bidouillages)
- Un caillou bien propre (pour la blague, évidemment, mais je le pose toujours à côté de la casserole pour la photo – c’est devenu une tradition !)
- 3-4 pommes de terre moyennes (Bintje, si j’en ai, sinon n’importe lesquelles, même celles qui commencent à germer…)
- 2 carottes (ou 1 grosse, ou un peu de panais si j’ai la flemme d’aller au marché)
- 1 poireau (ma grand-mère jurait que le blanc, mais franchement tout le poireau passe chez moi)
- 1 oignon (rouge ou jaune, mais attention l’oignon rouge colore tout… expérience vécue !)
- 1 gousse d’ail (ou deux, si personne n’a de rendez-vous le lendemain)
- 1 branche de céleri (ou pas, j’en ai rarement, alors je fais sans la plupart du temps)
- 1 bouquet garni (laurier, thym, persil… ou, soyons honnêtes, un sachet d’herbes de Provence, ça marche aussi)
- Un litre et demi d’eau, ou du bouillon maison si vous êtes motivés (sinon, le cube magique fait le job, mais chut…)
- Sel, poivre, et un trait d’huile d’olive (j’ai déjà tenté avec du beurre, c’est différent mais pas mal aussi)
Petites notes venues du terrain
- J’ai déjà oublié le bouquet garni sur le feu. Bilan: soupe très herbacée, pas mauvaise mais… bon, faut aimer !
- Si la soupe est trop épaisse, rajoutez un peu d’eau chaude, ça rattrape bien le coup.
- Parfois, je rajoute une poignée de petits pois surgelés à la fin, ça donne un côté printanier même en plein hiver.
- Et si vraiment vous avez la flemme, un reste de soupe de la veille marche aussi pour « booster » la nouvelle fournée.
Variantes que j’ai testées (plus ou moins réussies…)
Une fois, j’ai tenté la version avec du chorizo : c’est bon mais ça masque tout le goût des légumes, donc à éviter si vous aimez sentir chaque saveur (ou alors mettez juste un petit bout, pas toute la saucisse, comme moi la première fois). En fait, je trouve que la version végétarienne est la plus conviviale. Parfois, j’ajoute un peu de haricots blancs pour la consistance, c’est top. Et sinon, j’ai essayé une fois avec du potimarron… c’était joli mais un poil trop sucré pour mon goût.
Pas d’outil, pas de souci !
Si vous n’avez pas de mixeur, une fourchette fait le job pour écraser les légumes, c’est plus rustique mais ça rappelle la cuisine à l’ancienne, franchement ça a son charme (bon, faut juste un peu plus d’huile de coude !). J’ai même déjà utilisé un shaker à mojito pour mélanger, mais là c’était vraiment du dépannage…
Stockage (même si ça part trop vite, chez moi…)
La soupe se conserve bien 2-3 jours au frigo, dans une boîte hermétique (si vous avez réussi à en garder, bravo !). Perso, je trouve qu’elle est meilleure le lendemain, mais bon, elle disparaît souvent avant… Pour congeler, ça marche aussi, mais pensez à laisser refroidir avant pour pas que ça forme des blocs de glace bizarres.
Comment je la sers (et petites manies familiales)
Chez moi, c’est quasi-obligatoire : pain bien grillé frotté à l’ail et un peu de râpé dessus. Mon oncle trempe même du jambon, chacun son truc (j’ai essayé avec des croûtons nature, bof, vaut mieux du pain de campagne costaud !). D’ailleurs, si vous cherchez de bonnes idées de pains maison, je pioche parfois sur C’est ma fournée, ils ont des recettes ultra détaillées.
Petits trucs que j’ai appris de mes loupés
- Ne zappez pas l’étape du rissolage d’oignon, sinon ça manque de caractère… (j’ai essayé, c’est fade, vraiment)
- Une fois j’ai voulu aller trop vite, tout balancer en même temps, résultat: les patates étaient encore dures alors que les carottes étaient déjà en compote… Patience, c’est le secret !
- Et attention au sel: avec les cubes de bouillon, ça sale vite, goûtez avant de rajouter quoi que ce soit.
FAQ, ou les questions (bizarres) qu’on m’a déjà posées
Au fait, si vous cherchez d’autres histoires de soupes un peu farfelues, je vous conseille un petit détour sur Histoires de Chefs – ça change des recettes toutes lisses !
Voilà, c’est pas la recette la plus glamour du monde, mais franchement, quand tu rentres trempé jusqu’aux os, y a rien de tel (et puis, il reste toujours ce fameux caillou sur la table… c’est devenu le roi de la soirée chez moi !).
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This recipe has been tested and perfected in our kitchen. Enjoy your cooking adventure!

soupe au caillou
Ça commence par un caillou… ou presque Bon, la première fois que j’ai tenté la soupe au caillou, c’était plus par
Ingredients
Instructions
- 1D’abord, je rince le fameux caillou (pour la mise en scène). Puis j’épluche et coupe tous les légumes – je l’avoue, des fois, je laisse la peau sur les pommes de terre, surtout si elles sont bio. Ça donne une couleur plus rustique, j’aime bien.
- 2Dans une grosse marmite (genre cocotte de mamie), je fais revenir l’oignon et l’ail dans l’huile. Quand ça commence à sentir bon (et que les voisins toquent pour demander ce que je mijote), j’ajoute les autres légumes, sauf les pommes de terre. Là, je mélange bien, histoire que ça accroche un peu au fond, c’est là que je prends une petite pause café.
- 3Ensuite, j’ajoute les pommes de terre, le bouquet garni, puis je couvre avec l’eau ou le bouillon. Sel, poivre, et hop, feu moyen. N’oubliez pas d’enlever le bouquet garni à la fin, sauf si vous aimez mâchouiller laurier et thym… c’est votre choix, vraiment.
- 4Je laisse mijoter 30-40 minutes. Parfois plus, parfois moins, ça dépend si je suis absorbé par un épisode de série. J’avais tendance à goûter toutes les 10 minutes au début – maintenant j’attends au moins 20 minutes, sinon tout finit par disparaître avant la fin (oui, c’est du vécu).
- 5Un petit coup de mixeur plongeant si j’ai envie d’une texture veloutée, sinon je laisse les morceaux (mes enfants préfèrent quand il y a des bouts, allez savoir pourquoi).
- 6Et puis, le moment solennel : poser le caillou propre sur la table avant de servir. Ça fait jaser, surtout si vous avez des copains qui connaissent l’histoire !
- 7Lavez soigneusement le caillou à l’eau claire. Dans une grande marmite, faites chauffer l’huile d’olive et faites revenir l’oignon et l’ail jusqu’à ce qu’ils soient translucides.
- 8Ajoutez les carottes, les pommes de terre, le poireau et le céleri. Faites revenir quelques minutes en remuant.
- 9Ajoutez le caillou propre dans la marmite, puis versez l’eau. Ajoutez le bouquet garni, salez et poivrez selon votre goût.
- 10Portez à ébullition, puis baissez le feu et laissez mijoter à couvert pendant environ 40 minutes, jusqu’à ce que les légumes soient tendres.
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