Bon, alors imagine : il pleut, c’est un de ces soirs où tout paraît gris (tu vois le genre ?), et franchement, t’as juste envie d’un truc réconfortant mais pas prise de tête. C’est précisément dans ces moments-là que je me prépare ce fameux ramen coréen crémeux et épicé. Premier essai, j’ai eu la main un peu lourde sur le piment, mais depuis, j’ai trouvé la dose qui tue (enfin, qui ne tue pas la bouche, mais juste ce qu’il faut !) Ma sœur me réclame toujours ce plat quand elle passe à la maison – c’est devenu une sorte de tradition. Ah, et puis, la dernière fois, j’ai mis un peu trop de lait : c’est devenu presque une soupe, mais vraiment pas mauvais, au final !

Alors moi, je fais ce ramen quand j’ai besoin de chaleur et d’un petit coup de fouet (genre après une grosse journée ou un lundi de la loose). Les enfants se disputent le dernier œuf mollet (sérieux, c’est la guerre à table). J’ai même testé avec de la crème liquide au lieu du lait – bah, c’est pas mal. Je dois t’avouer, parfois, ça déborde un peu sur la plaque (oui, même quand je surveille). Mais bon, c’est le prix à payer pour un vrai plat de comfort food, non ?

Normalement, il n’en reste pas… mais si jamais, ça se conserve au frigo, dans un bol couvert, genre 24h max. Les nouilles ramollissent un peu, mais je trouve (contre toute attente) que c’est encore meilleur le lendemain, ça boit la sauce !

Why You'll Love This Recipe

• Quick and easy to prepare
• Made with simple, accessible ingredients
• Perfect for weeknight dinners or special occasions
• Delicious flavors that everyone will enjoy
• Great for meal prep and leftovers

Ingredients

Instructions

Laisse-moi te raconter pourquoi j’adore ce bol de ramen coréen crémeux et épicé

Bon, alors imagine : il pleut, c’est un de ces soirs où tout paraît gris (tu vois le genre ?), et franchement, t’as juste envie d’un truc réconfortant mais pas prise de tête. C’est précisément dans ces moments-là que je me prépare ce fameux ramen coréen crémeux et épicé. Premier essai, j’ai eu la main un peu lourde sur le piment, mais depuis, j’ai trouvé la dose qui tue (enfin, qui ne tue pas la bouche, mais juste ce qu’il faut !) Ma sœur me réclame toujours ce plat quand elle passe à la maison – c’est devenu une sorte de tradition. Ah, et puis, la dernière fois, j’ai mis un peu trop de lait : c’est devenu presque une soupe, mais vraiment pas mauvais, au final !

Pourquoi tu vas kiffer ce ramen (vraiment !)

Alors moi, je fais ce ramen quand j’ai besoin de chaleur et d’un petit coup de fouet (genre après une grosse journée ou un lundi de la loose). Les enfants se disputent le dernier œuf mollet (sérieux, c’est la guerre à table). J’ai même testé avec de la crème liquide au lieu du lait – bah, c’est pas mal. Je dois t’avouer, parfois, ça déborde un peu sur la plaque (oui, même quand je surveille). Mais bon, c’est le prix à payer pour un vrai plat de comfort food, non ?

Ce qu’il te faut (avec mes bidouillages perso)

• 1 paquet de nouilles instantanées coréennes (genre Samyang, mais les paquets du supermarché du coin font l’affaire, parole d’amateur pressé !)
• 300 ml d’eau (ou un peu plus si tu veux plus de bouillon, je mesure jamais au millilitre…)
• 100 ml de lait entier (parfois, je fais moitié lait, moitié lait de coco – ça fait voyager)
• 1 cuillère à soupe de pâte de gochujang (si t’as pas, un p’tit mélange de sriracha et un chouilla de miso peut dépanner, ma tante a essayé… c’est pas mal)
• 1 cuillère à café de sauce soja
• 1 œuf (ou deux, si t’es gourmand – à la coque, c’est le top !)
• 1 poignée de jeunes épinards (ou de la roquette, j’ai déjà fait, personne n’a rien capté)
• Quelques lamelles d’oignon vert (ou du poireau haché, si t’as que ça sous la main)
• Un peu de fromage râpé (optionnel mais vraiment, si t’aimes le côté crémeux, fonce)
• (Option) Quelques tranches de kimchi, pour pimenter la chose !

On se lance ? Voici comment je prépare mon ramen (et toi aussi tu peux !)

• Dans une casserole (pas trop petite, sinon ça déborde – vécu !), fais bouillir l’eau. Ajoute les nouilles quand l’eau frémit, et laisse cuire 2 à 3 minutes. Tu peux y aller à l’œil, c’est pas grave si ça dépasse un peu.
• Ajoute la pâte de gochujang, la sauce soja et le lait. Là, c’est le moment où je goûte direct à la cuillère (attention à pas te brûler, ça m’est arrivé… plus d’une fois). Mélange bien !
• En même temps, fais cuire ton œuf dans une petite casserole à part (6 minutes pour un œuf mollet, mais parfois je le rate et il est dur, tant pis, c’est bon aussi)
• Ajoute les épinards (ou ce que t’as) et laisse-les faner dans le bouillon, ça prend genre 30 secondes. Si ça fait une drôle de couleur, c’est normal, je panique plus à ce stade !
• Verse tout dans un grand bol. Sors l’œuf, écale-le (attention, ça colle parfois) et coupe-le en deux.
• Ajoute l’oignon vert, un peu de fromage râpé si le cœur t’en dit, et le kimchi sur le dessus. Là, c’est le moment photo pour Instagram – ou pas. Moi, je commence direct à manger !

Quelques notes de la vraie vie (testées et pas toujours approuvées)

• J’ai déjà essayé avec du lait écrémé, ça manquait de rondeur (prends au moins du ½ écrémé, sérieusement)
• Si tu mets trop de gochujang, t’as le nez qui coule – je te préviens, pas la peine de frimer !
• Parfois je mets des restes de poulet rôti, c’est pas très coréen mais hyper satisfaisant

Des variantes ? J’ai tenté… parfois avec plus ou moins de succès !

• Version végétarienne: remplace la sauce soja par du tamari, et ajoute des champignons à la place de la viande
• Fromage fondu: j’ai tenté du camembert, mais c’était chelou… Par contre, le cheddar râpé, c’est top !
• Sur un coup de tête, j’ai mis de la courgette râpée – pas la meilleure idée de l’année, ça devient tout fade

Le matos utile (mais si t’as pas, débrouille-toi !)

• Une bonne casserole. Mais franchement, une poêle profonde fait l’affaire (faites gaffe, ça éclabousse plus, c’est tout)
• Un minuteur – ou alors, fais comme moi, compte dans ta tête et croise les doigts
• Une louche, ou une grande cuillère, ou… ben, verse direct le tout dans le bol si t’as la flemme

Comment je garde les restes (spoiler : j’en ai jamais !)

Normalement, il n’en reste pas… mais si jamais, ça se conserve au frigo, dans un bol couvert, genre 24h max. Les nouilles ramollissent un peu, mais je trouve (contre toute attente) que c’est encore meilleur le lendemain, ça boit la sauce !

Comment j’aime servir ce ramen (et toi ?)

J’adore le servir dans un grand bol avec une bonne cuillère en bois – et toujours avec des baguettes (même si j’ai tendance à tout faire tomber dedans). Petite tradition chez nous : un trait de sésame grillé par-dessus, parce que mon frère dit que « ça fait pro ».

Mes bêtises à éviter (et pro tips involontaires)

• Une fois, j’ai voulu faire cuire l’œuf direct dans le même bouillon: il a explosé (mauvaise idée, vraiment !)
• J’ai déjà essayé de zapper le gochujang – c’est fade, franchement. Mets au moins un peu de sauce piquante.
• Ne fais pas bouillir le lait trop fort, sinon ça mousse et déborde (et là, bonjour le nettoyage…)

Questions qu’on m’a déjà posées (et mes réponses du tac au tac)

• Je peux utiliser un autre type de nouilles ? Franchement, oui ! J’ai déjà pris des soba ou même des spaghetti – c’est pas « orthodoxe » mais ça marche.
• Ça marche sans lait ? Oui, juste avec plus d’eau, mais c’est moins crémeux. Essaie avec du lait de soja ou d’avoine (j’ai trouvé une chouette recette sur ce blog si tu veux comparer).
• Ça pique beaucoup ? À toi de doser ! Moi, je mets moins de gochujang si mes parents sont là (ils craignent le piment, c’est terrible).
• Où trouver du gochujang ? En épicerie asiatique, ou même en ligne sur Asian Market (j’ai déjà commandé, nickel).
• On peut ajouter du tofu ? Carrément ! Je le fais sauter vite fait à la poêle avant de l’ajouter.

This recipe has been tested and perfected in our kitchen. Enjoy your cooking adventure!