Bon, alors, je dois te dire : les croquettes de poisson maison, ça me rappelle les samedis pluvieux chez ma tante Odette. Elle avait ce don pour transformer n’importe quel poisson (même le surgelé tout tristounet du fond du congélo) en petites merveilles croustillantes. Je me souviens, gamin, des batailles de miettes sous la table. Maintenant, c’est moi qui les prépare, et franchement, la première fois, j’ai fichu une panique pas possible dans ma cuisine (la farine partout, même sur le chat, mais c’est une autre histoire).

J’en fais quand j’ai un reste de poisson qui traîne ou quand j’ai besoin d’un petit plat réconfortant sans prise de tête. Ma famille devient limite hystérique dès qu’elles sortent de la poêle (je n’exagère presque pas). Et puis, c’est carrément la recette « sauve-ta-soirée » : tu improvises, tu modules… Parfois, je râle parce que la panure colle mal, mais au fond, c’est ce côté imparfait qui les rend sympas. (Et pour être honnête, j’adore piquer une croquette brûlante alors qu’il faudrait attendre qu’elles refroidissent… patience zéro, je sais).

Pas de presse-purée ? J’utilise une fourchette (oui, c’est plus long, mais c’est tout aussi efficace). Pas de poêle antiadhésive ? Ajoute juste un peu plus d’huile, ça colle moins (à surveiller quand même, j’ai déjà eu une croquette soudée à la poêle, souvenir ému).

Why You'll Love This Recipe

• Quick and easy to prepare
• Made with simple, accessible ingredients
• Perfect for weeknight dinners or special occasions
• Delicious flavors that everyone will enjoy
• Great for meal prep and leftovers

Ingredients

Instructions

Oh les croquettes de poisson maison… ma petite madeleine salée

Bon, alors, je dois te dire : les croquettes de poisson maison, ça me rappelle les samedis pluvieux chez ma tante Odette. Elle avait ce don pour transformer n’importe quel poisson (même le surgelé tout tristounet du fond du congélo) en petites merveilles croustillantes. Je me souviens, gamin, des batailles de miettes sous la table. Maintenant, c’est moi qui les prépare, et franchement, la première fois, j’ai fichu une panique pas possible dans ma cuisine (la farine partout, même sur le chat, mais c’est une autre histoire).

Pourquoi tu vas aimer cette recette, promis juré

J’en fais quand j’ai un reste de poisson qui traîne ou quand j’ai besoin d’un petit plat réconfortant sans prise de tête. Ma famille devient limite hystérique dès qu’elles sortent de la poêle (je n’exagère presque pas). Et puis, c’est carrément la recette « sauve-ta-soirée » : tu improvises, tu modules… Parfois, je râle parce que la panure colle mal, mais au fond, c’est ce côté imparfait qui les rend sympas. (Et pour être honnête, j’adore piquer une croquette brûlante alors qu’il faudrait attendre qu’elles refroidissent… patience zéro, je sais).

Les ingrédients (avec mes petites bidouilles perso)

• 300g de poisson (cabillaud, colin… ou franchement, un reste de saumon cuit, ça passe crème. Ma grand-mère jurait que le merlan, c’est sacré, mais j’ai testé avec du lieu noir, c’était nickel aussi)
• 1 grosse pomme de terre (ou deux petites, au pif… j’en mets parfois une de plus pour les grosses faims)
• 1 œuf (quand j’en ai plus, j’ai déjà tenté avec un peu de yaourt nature, et ça se tient à peu près)
• 2 cuillères à soupe de persil frais haché (ou surgelé. Oui, je triche les soirs de flemme)
• Sel, poivre (et parfois une pincée de piment doux, si j’ai envie de mettre du piquant)
• Chapelure (j’ai déjà remplacé par des crackers émiettés, faute de mieux, et ben… c’était pas mal !)
• Farine (genre 2 cuillères à soupe, mais on ajuste. Pour paner, hein ?)
• Un filet d’huile pour la cuisson (tournesol, olive… J’ai même testé avec un fond de beurre un soir de fête, et ouh là, c’est gourmand)

Comment je m’y prends (et mes petites bourdes du début)

• Fais cuire la pomme de terre (à l’eau, à la vapeur, ou carrément au micro-ondes si tu es pressé. La première fois, je l’avais oubliée et mis crue dans la pâte… c’était pas une franche réussite.)
• Émiette le poisson (s’il est cru, poêle-le doucement avec un peu d’huile, 3-4 minutes suffisent. S’il est déjà cuit, hop, on passe direct à l’étape suivante. Et c’est là que je goûte toujours un bout, pour vérifier l’assaisonnement, tu vois… par pure conscience pro, bien sûr)
• Écrase la pomme de terre et mélange avec le poisson émietté, le persil, le sel, le poivre, et l’œuf. Si la pâte te semble trop sèche, un peu de lait fait l’affaire (ou même un chouia de crème, pour les jours de fête)
• Forme des boulettes ou galettes (ça dépend de ton humeur et de la taille de ta poêle. Elles n’ont pas à être parfaites, c’est justement mieux quand c’est irrégulier, j’trouve !)
• Passe chaque croquette dans la farine, puis dans la chapelure. Là, ça colle toujours un peu aux doigts, mais bon, c’est la vie. (Petit secret: je mets parfois la pâte au frais 10 minutes avant de façonner, ça aide, mais je zappe souvent parce que j’ai faim.)
• Fais dorer dans une poêle bien chaude, 3 minutes de chaque côté environ. Elles doivent chanter (pas littéralement, hein, mais le petit crépitement, c’est la mélodie du soir chez moi). À ce stade, si elles se défont un peu, c’est pas grave, on les recolle vite fait.

Notes « testées et (presque) approuvées »

• Ne pas trop retourner les croquettes sinon elles finissent en purée, j’ai appris ça à mes dépens.
• Avec un peu de zeste de citron dans la pâte, ça réveille tout (merci à mon pote Nico pour l’astuce, même si je l’oublie une fois sur deux).
• Je trouve qu’elles sont meilleures réchauffées le lendemain, mais bon, faut qu’il en reste…

Variantes testées… et pas toujours gagnées

• Avec des herbes différentes: ciboulette ou coriandre, ça change tout. Mais alors, le thym, c’était franchement pas une bonne idée…
• Panure avec des cornflakes écrasés: croquant de folie, mais un peu trop sucré à mon goût.
• J’avais tenté de mettre des petits pois dans la pâte, mais ils s’échappent partout. Bref, pas top (mais si tu veux essayer…)

Pas le matos ? Pas grave !

Pas de presse-purée ? J’utilise une fourchette (oui, c’est plus long, mais c’est tout aussi efficace). Pas de poêle antiadhésive ? Ajoute juste un peu plus d’huile, ça colle moins (à surveiller quand même, j’ai déjà eu une croquette soudée à la poêle, souvenir ému).

Pour garder les croquettes (si tu y arrives…)

Tu peux les mettre au frigo dans une boîte hermétique, max 2 jours. Perso, elles ne survivent jamais plus de 24h à la maison, c’est un fait. (Et froides, direct piquées dans le frigo, c’est même pas mal, mais chut, secret).

Avec quoi je sers ça ?

J’adore les accompagner d’une salade verte bien assaisonnée, ou alors carrément de frites maison (oui, double dose de croustillant, j’assume). Mon frère met toujours un peu de sauce tartare maison recette ici et il a pas tort. Un peu de citron, obligatoire, chez nous c’est la tradition.

Petits trucs appris (parfois à mes dépens…)

• Vaut mieux laisser la pâte reposer, sinon tout s’effondre à la cuisson. J’ai essayé de sauter cette étape, pas malin…
• La panure, faut que l’huile soit bien chaude, sinon ça boit tout comme une éponge.
• Et surtout, n’essaie pas de faire des croquettes énormes, elles ne cuisent pas bien au centre (ou alors je suis pas doué… possible aussi).

FAQ (oui, on m’a déjà posé ces questions, promis)

• Peut-on les congeler ? Oui, mais je trouve qu’elles perdent un peu de leur magie (croustillant un peu tristoune à la décongélation). Pourtant, certains jurent que ça marche.
• Avec quel poisson c’est le meilleur ? Franchement, ce que tu as sous la main (et même du poisson en boîte, si t’es en galère, ça dépanne bien).
• Ça marche avec du poisson fumé ? Euh, j’ai essayé avec du haddock, c’était… trop salé, j’ai pas aimé. Après, chacun ses goûts.
• Peut-on faire une version sans gluten ? Oui ! Remplace la farine et la chapelure par des alternatives genre fécule de maïs ou chapelure sans gluten, mais c’est un poil plus friable.

This recipe has been tested and perfected in our kitchen. Enjoy your cooking adventure!